Ils ont réussi à synchroniser leurs vacances ! Ils décident de
partir une semaine tout compris dans un hôtel de luxe. Elle a choisi un
palace.
La chambre est somptueuse : il y a des lourds rideaux rouges aux
fenêtres, le sol est en marbre clair, la salle de bain est tapissée de
miroirs…
La chambre est très grande, un fauteuil et un canapé la meublent agréablement, le lit a courtine dont les voilages bordeaux sombres tombent en cascades sur chacun des quatre côtés, les draps sont en soie, il y a des oreillers et des polochons en pagaille.
Elle court partout dans la chambre et s’émerveille de tout ce luxe.
Le palace donne accès à une piscine, un sauna, un hammam,un jacuzzi, au tennis… et qui plus est, ils ont une femme de service par chambre pour s’occuper d’eux.
Après le voyage en avion et le décalage horaire, ils s’écroulent, profitant de la douceur des draps et du moelleux parfait du lit.
Elle se réveille, se passe une main entre les cuisses, c’est bien ça, elle a dû avoir des pensées coquines…
Elle se tourne vers lui, l’embrasse dans le cou, sur les épaules le ventre puis descend encore un peu, il frémit ; elle embrasse sa verge et se lève, en le laissant dans cet état.
Il ouvre enfin les yeux « Mais mais mais il bande et elle le laisse comme ça ! » Il entend l’eau dans la salle de bain, tous ces reflets partout lui donne des idées. Décidément, il est bien content de tout ce luxe …
Il la rejoint dans la salle de bain, elle sort d’une douche rapide et le regarde en riant « Tu es en forme au saut du lit ! »
Elle va pour s’habiller mais il la retient « Tu ne peux pas m’allumer comme ça et me laisser ensuite… tu as voulu du luxe et des miroirs partout ? On va voir ça … ».
Il lui demande de s’asseoir les fesses sur ses talons, les jambes un peu écartées, il l’oriente face au plus grand miroir.
Il s’emboîte derrière elle, lui caresse et pétrit la poitrine, longuement l’un après l’autre, mouille ses tétons et joue avec en les tournant, il descend de temps en temps jusqu’à son ventre, lui dit de regarder ses reflets, elle est belle n’est-ce pas ?
Elle n’ose pas mais si elle baisse les yeux, elle voit le reflet son sexe qui commence à luire lui semble-t-il, ça la gêne.
Il continue à la caresser, lui passe sa main dans les poils sans aller plus loin, lui caresse l’intérieur des cuisses avec le bout de doigts légèrement ou de manière plus appuyée. Il monte et descend le long de ses jambes mais s’arrête juste à l’aine.
Elle souffle fort tout en essayant d’être discrète.
Il reprend ses caresses du haut des cuisses jusqu’aux seins qu’il malaxe tendrement.
Elle garde les yeux baissés malgré ses demandes, lui n’en perd pas une miette, il la regarde s’abandonner contre lui, il voit aussi sa fente luire et sa mouille filer sur le marbre.
Il cale son membre bandé entre ses fesses, il peut ainsi se frotter contre elle.
Il vient alors poser une main sur son pubis et lui cajole sa fente, lentement, sur toute la surface et son autre main continue de lui masser les seins.
Elle a reposé sa tête sur son épaule et ses mains son crispées sur ses cuisses.
A chaque expiration, elle émet un soupir.
Il continue ses attouchements sans être trop précis ni trop présent. Il bande tellement qu’il a l’impression que son gland va exploser, il se frotte contre elle dans l’espoir -vain, visiblement- que la tension diminue.
Le corps de la femme se tend peu à peu. Ses mains sont maintenant sur l’intérieur des ses cuisses.
Il appuie un peu plus ses gestes encore mais évite son clitoris et résiste à lui mettre un doigt et même à la prendre brusquement, que c’est dur ! Il la caresse le plus vaguement qu’il peut.
Les mains de la femme remontent vers son entrejambe. Elle n’est plus assise, elle est presque allongée, les jambes toujours sous elles. Sa respiration est chaotique, elle a des instants d’apnée, des gémissements.
Pour l’empêcher de se caresser -comme elle en a probablement l’intention-, il place une main sur son pubis et l’autre sur toute la surface de ses lèvres. Son majeur tente de s’insérer dans l’interstice extrêmement trempé mais il résiste.
Elle se tortille à droite et à gauche à grand renfort de petits cris. Elle le regarde dans les yeux et lui demande de la faire jouir ; il voit la supplique et l’épreuve qu’il lui fait subir. Il sourit et il dit « Garde les yeux ouverts s’il te plaît » ; elle les referme alors qu’un premier spasme arrive.
Il réitère sa demande à grand renfort de « S’il te plaît ».
Elle tente de placer ses mains sur ses lèvres mais il l’en empêche, elle voit dans le miroir qu’il ne cédera pas.
Soit elle ouvre les yeux et jouira, soit elle s’est fait chauffer au delà de toute expression sans conclusion !
Elle le regarde, jette un œil vers le marbre du sol, elle voit bien ce qu’il lui fait. Elle bouge alors son bassin pour frotter son sexe contre la main tonique de l’homme ; il change la position de ses doigts et la pénètre avec mon majeur et son annulaire, ainsi le moelleux de sa paume vient frotter son clitoris.
Elle se regarde dans le miroir du mur, elle est tellement en feu qu’elle bouge ses fesses très vite et très fort. Et son mouvement profite à l’homme.
Il essaie de résister à ses mouvements pour garder la position mais elle y met vraiment son cœur! Elle n’en peux plus de se faire tripoter comme ça alors, elle saisit la main de l’homme, l’écrase contre son sexe et force les doigts à rester en place. Elle halète complètement. Elle lui broie la mains, les phalanges, les doigts… mais elle est tellement fébrile qu’il la laisse faire, après tout, il l’a un peu cherchée aussi …
Il savait qu’elle était souple et il la découvre aussi musclée !
Soudain, elle se recroqueville dans une jouissance extrême tout en continuant de bouger la main qu’elle a saisit avec ses deux mains à elle tellement elle est ardente.
Elle a fermé les yeux depuis qu’elle jouit mais lui voit son extase se refléter dans les miroirs et sur le sol, il a l’impression de baigner dedans.
Ses mouvements ne l’ont pas du tout apaisé, il est aussi fébrile qu’elle, son membre a frotté sur son cul sans arrêt mais sans le libérer non plus. Il ne se maitrise plus trop… il la laisse retomber sur le sol, la retourne -elle se laisse faire tellement elle est à bout-.
Il lui met une claque sur les fesses et lui dit d’un ton sec « Mets toi à quatre pattes ». Elle se hisse encore toute vibrante.
Elle lui présente son cul.
Il l’embroche d’un coup rageur, elle sursaute…
Il la prend sans aucune douceur, énergiquement et avec force, il va le plus profond qu’il peut, elle jouit encore.
Il profite -enfin !- de la vision de cette femme magnifique, de son cul encore plus rond vu de haut, de sa taille fine, de ses épaules blanches…
Il la voit jouir encore dans les reflets, il voit ses seins qui bougent à chacun de ses allers vigoureux.
Il la voit continuer d’agiter les doigts sur son clitoris…
Et d’un coup, il jouit en elle, il essaie de faire encore quelques mouvements mais il est trop épuisé par la tension qu’il vient de subir…
Ils s’écroulent par terre, à plat ventre et attendent un peu de se remettre.
Ils prennent leur douche ensemble ; il lui explique combien il a apprécié qu’elle le regarde et qu’elle se regarde. Elle rosit.
Ils s’habillent : il remarque qu’elle ne met ni string ni soutien gorge sous sa jupe et son haut décolleté ! Il ne met pas de slip puisque c’est comme ça…
Ils décident d’aller se renseigner sur le jacuzzi (elle adore l’eau à bulles !) pour aller barboter après le restaurant (elle a insisté pour la pension complète et comme elle a eu raison !).
Au restaurant, l’ambiance est toujours luxueuse, c’est agréable de se mettre les pieds sous la table. Le repas est excellent, les vins aussi…
Soudain, il sent quelque chose lui toucher l’entrejambe… Il jette un œil : c’est son pied qui vient le caresser !
Il la regarde, il se demande comment elle arrive à maintenir une conversation alors qu’elle le tripote…
Son pied va et vient.
C’est gagné, forcément, son membre se dresse et comme il n’a pas de slip, la ceinture de son pantalon le bloque à peine ! Son bout ne va quand même pas arriver à sortir ??
Il la regarde encore : elle a les yeux qui brillent, il voit son tétons qui pointent (ils n’étaient pas comme ça au début du repas…), elle se passe la langue sur ses lèvres rougies de brillant à lèvres (tiens, d’habitude, elle n’en met pas …).
Entre deux phrases anodines, elle lui susurre des « Je mouille » , « J’ai envie », « Mmhhh » « Ça va ? », « Devine où j’ai mis ma main », « Mais que font mes doigts ? ».
Il constate avec inquiétude que le repas est fini, il essaie de débander mais c’est peine perdue alors il se coince la verge du mieux qu’il peut pour qu’au moins elle ne sorte pas de son pantalon.
Le jacuzzi est librement disponible, il est possible de mettre un « do not disturb » à la porte car c’est la basse saison. Elle jubile.
Après le bon repas, ils vont se détendre un peu dans les bulles. Elle lui dit de mettre l’affichette à la porte qu’ils puissent profiter sans être dérangé, « Oui oui, t’inquiète ».
Ils se déshabillent et plongent nus dans le bain bouillonnant et chaud avec plaisir.
Ils peuvent commander les jets de massage et l’intensité des bulles. Elle n’hésite pas, règles les jets sur assez puissant et se met le minou face.
Il vient lui titiller les seins, elle lui propose de s’asseoir sur le rebord haut pour qu’elle puisse le sucer. Connaissant son talent, il accepte aussitôt. Elle le prend en bouche et s’applique à le lécher tout le long, elle l’enduit de salive, lui aspire le gland ; elle se délecte. Le jet du jacuzzi la stimule toujours et la pensée qu’il va jouir dans sa bouche l’attise un peu plus.
La porte du jacuzzi s’ouvre ! Elle lui demande s’il a bien mis le « do not disturb » ? Il répond que non, finalement.
L’inconnu s’approche, saisit rapidement la situation et se trouve confus. Il s’excuse et propose visiblement des les laisser mais son ami, qui comprend et parle, semble lui proposer de rester.
Elle n’est pas d’accord, alors son ami propose à l’inconnu de n’utiliser que ses doigts à lui et sa bouche à elle.
Il est ok et sourit, ravi.
Ils se rassoient tous les trois dans le jacuzzi, elle reprend sa position face au jet et les hommes se mettent de part et d’autre.
Ils lui caressent les seins, lui cajolent le pubis. Elle prend alors les deux verges en main et commence des mouvements de va-et-vient. L’inconnu apprécie la situation…
Elle n’hésite plus trop et demande à l’inconnu de se placer face à elle pour qu’elle le suce plus à l’aise. Il s’exécute, content.
Son ami en profite pour se placer sous elle et en elle. La voilà donc en train de lécher l’un pendant que l’autre la pénètre…
Son ami lui fait faire des mouvements d’avant en arrière plutôt que verticaux et elle ressent très bien la stimulation que cela produit.
Elle commence à s’agiter toute seule et suce avec beaucoup plus d’ardeurs. Son ami ne perd pas une miette de cette fellation. La voir faire le stimule. Il note comment elle caresse les testicules, tout doucement avec tout le plat de la main, comme ses joues se creusent légèrement quand elle aspire, comme elle bave abondamment -signe de son excitation-
L’inconnu est très excité aussi par la situation, non seulement, elle suce bien mais en plus, elle se fait prendre !
Il lui caresse la tête pour la prévenir ; elle le regarde tout en continuant de le sucer. Il se tend vers l’arrière, elle avale toute la semence tout en agitant toujours sa langue sur son gland.
Son ami lui dit de sortir de l’eau, qu’elle s’installe sur une serviette par terre. Il discute avec l’inconnu, elle ne saisit aucun mot, ils parlent vite.
Elle s’allonge sur une serviette moelleuse et ils lui rehaussent les fesses avec une pile de linge, ils lui placent un masque de repos sur les yeux, elle se retrouve sans vision, le bassin surélevé.
Elle est embarrassée d’être ainsi exposée devant l’inconnu. Son ami vient lui dire à l’oreille que l’homme l’apprécie beaucoup, qu’il la trouve belle et qu’il va la remercier à sa façon.
Elle discerne leur présence de part et d’autre d’elle, ils semblent s’installer.
La partition à quatre mains sur son corps débute …
Ils commencent par la caresser avec toute la main ou le bout des doigts des pieds jusqu’aux épaules, puis les caresses se font plus soutenues, ils insistent sur sa poitrine, ses tétons, son ventre …
Ils parlent à voix basses et comme elle ne peut pas les voir, elle est concentrée sur ses sensations.
Elle a des mains entre ses cuisses maintenant, elle mouille elle en est sûre… elle rougit sous le masque mais elle se sent cachée, en sécurité.
Les bouches se mettent alors en action… Ses seins sont léchés partout, ses tétons sont flattés par une langue, les doigts se font inquisiteurs et une autre bouche s’occupe de son clitoris.
Son ami lui commente : « Il trouve que tu as un bon goût… il aime que tu mouilles beaucoup… il est surpris par la sensibilité de tes seins… il se demande s’il peut profiter de tes fesses -chut- je lui ai dit oui »
Elle sent que des doigts la pénétre après de douces circonvolutions autour de ses orifices.
Les doigts s’agitent avec douceur et constance, elle ruisselle car sa mouille -soigneusement étalée par une main- lui lubrifie l’anus.
Son clitoris est malaxé ardemment par une langue experte (son ami ?). Ses trous sont fouillés avec plus de vigueur, une main vient lui presser le ventre.
Elle halète et à chaque expiration, elle émet un « Haaaa » de plus en plus fort, elle sent son ventre se contracter.
Les deux hommes se parlent de nouveau, elle les entend à peine… elle est au bord de l’explosion, son corps est en feu.
L’orgasme arrive, non pas brusquement mais en prenant son temps, comme une lame de fond qui arriverait de très loin, cela lui coupe le souffle.
Les doigts et les langues continuent leur ballet, inlassablement, sans perdre le rythme.
Soudain, elle se détend en arrière, expire avec un grand « AHHHAHHHHAHH » et attend la descente mais non, les hommes poursuivent leur fouille et en même temps, lui maintiennent les cuisses ouvertes.
Elle jouit encore et encore et encore… elle a la respiration hachée, son corps est agité de soubresauts, elle a du mal à reprendre son souffle.
Enfin, ils la laissent, pantelante, sur le sol. Elle ôte le masque, cligne des yeux devant la lumière.
Ils la regardent en riant, l’air très complice.
Son ami lui demande si ça va ? « Oui oui » répond-elle « Merci pour cette séance ».
Pour se détendre, ils retournent dans le jacuzzi et papotent plus ou moins.
Voilà une semaine de vacances qui promet d’être intéressante… Ils vont pouvoir utiliser le grand lit de bien des manières…
A.